On parle de Kakapo dans le magazine Vivre Marseille

On parle de Kakapo dans Vivre Marseille!

Voici l’article:

Un homme heureux

L’épanouissement. C’est ce qu’a éprouvé Florent Sibil, 39 ans, quand il a découvert Marseille et sa région en 2008. Après une carrière d’ingénieur et formateur en logiciels dans le pétrole treize ans durant à La Ciotat, il a décidé de changer de vie en ouvrant sa mercerie- atelier-salon de thé et en exerçant sa fibre créative dans le crochet. Une reconversion hors normes! Il est aujourd’hui créateur d’amigurumis, des peluches crochetées et rembourrées de ouate. Hector le dinosaure, Gaspard le lézard ou encore Gaston le raton laveur sont ses gentilles créatures… Et bientôt les vôtres…

 

Vous venez d’ouvrir une mercerie créative?

Ouvrir ma boutique a été pour moi l’opportunité de me donner la chance de vivre de ma passion et d’être en phase avec mes valeurs. Par exemple, en partageant mes connaissances à travers les ateliers créatifs organisés chaque semaine et en continuant à apprendre à expérimenter de nouvelles techniques.

 

Pourquoi ce nom, « Kakapo », pour votre boutique?

J’ai découvert le kakapo en créant mon tout premier modèle d’amigurumi. Il s’est imposé de lui-même comme nom pour ma boutique. Le kakapo est le plus lourd perroquet du monde et vit en Nouvelle-Zélande. Son nom signifie « perroquet de nuit en maori. À l’origine, il n’avait aucun prédateur et a donc progressivement perdu son aptitude à voler, devenue inutile. Puis les hommes sont arrivés et avec eux des rats, des furets et des hermines qui ont décimé ce pauvre kakapo. De plus, il a longtemps été chassé pour sa viande et ses plumes, utilisées pour orner des vêtements traditionnels. En 1995, il ne restait plus que 51 kakapos et, pour empêcher son extinction totale, il a été protégé et regroupé sur trois iles. Sa population commence enfin à recroitre.

 

Pourquoi le crochet?

Imaginer des peluches au crochet a un petit côté régressif, mais cela permet également d’exprimer une part de son âme d’enfant que l’on a trop tendance à oublier à l’âge adulte. Inventer de petites histoires autour de mes peluches,

leur donner des noms et des traits de caractère, c’est se raconter de jolies histoires comme quand on était petit. En somme, l’idée est de continuer, même à l’âge adulte, de s’émerveiller de petits riens et de se réjouir des petits bonheurs de la vie… NLP

Merci beaucoup à Vivre Marseille pour cet article !

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